L’Inégalité de Santé dans le Monde : Un Défi Mondial en 2024 L’inégalité en matière de santé est un problème global persistant, où les écarts d’accès aux soins de santé, aux traitements et à la prévention des maladies varient largement en fonction de la géographie, de la classe sociale, du niveau d’éducation et du statut économique.  En 2024, bien que des progrès aient été réalisés dans de nombreuses régions, les disparités restent profondes, menaçant le bien-être et l’espérance de vie de millions de personnes à travers le monde. Une Disparité Alarmante : L’Accès aux Soins L’une des principales causes de l’inégalité de santé réside dans l’accès aux soins médicaux. Selon un rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), environ la moitié de la population mondiale (environ 3,5 milliards de personnes) ne bénéficie pas d’un accès suffisant aux services de santé essentiels. Cette situation touche particulièrement les pays à faible et moyen revenu. Par exemple, en Afrique subsaharienne, la densité de médecins est de 0,2 médecins pour 1 000 habitants, soit un chiffre bien inférieur à celui des pays à haut revenu comme les États-Unis, où ce taux atteint 2,6 médecins pour 1 000 habitants. Les infrastructures de santé de qualité restent également un privilège réservé aux populations des grandes villes. Dans de nombreuses zones rurales, l’accès à des hôpitaux équipés et à des services de santé de qualité reste extrêmement limité. Ainsi, les personnes vivant dans des régions rurales sont souvent confrontées à des délais d’attente importants, des coûts de transport élevés et un manque de personnel médical qualifié. Les pays francophones, en particulier en Afrique subsaharienne, subissent des défis majeurs en matière de santé en raison de leur pauvreté. Ces défis ont un impact négatif sur la santé publique. Des initiatives de collaboration entre l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) visent à améliorer l’accès aux soins de santé et à garantir la couverture sanitaire universelle dans ces pays. Les organismes francophones jouent un rôle essentiel dans la promotion de l’accès aux soins médicaux dans les pays francophones. Plusieurs partenariats ont été mis en place entre l’OMS  et l’OIF, visant à renforcer l’accès à la santé dans les pays francophones, notamment par la lutte contre les maladies infectieuses et en garantissant l’accès à des vaccins abordables pour tous.  D’ailleurs, la langue française joue un rôle crucial dans la communication médicale, en particulier dans le contexte où les patients et les professionnels de santé proviennent de milieux linguistiques divers. La diversité linguistique peut créer d’importantes barrières à une communication efficace, ce qui a un impact direct sur la qualité des soins et les résultats pour les patients. D’après certaines études*, la barrière de la langue peut avoir un impact direct sur la qualité de la prise en charge du patient dans son parcours de soin. Par cette communication moins efficace, de nombreuses conséquences, plus ou moins graves, peuvent apparaître : de l’insatisfaction tant des praticiens que du patient, jusqu’à des erreurs médicales impactant directement la prise en charge et le bon rétablissement du patient.  Pour conclure  la collaboration entre les pays francophones offre des opportunités significatives pour renforcer la qualité des soins de santé, en favorisant les échanges d’expériences, les partenariats durables, et en promouvant des initiatives visant à améliorer l’accès aux services de santé et à garantir des soins de qualité pour l’ensemble des populations francophones.     Les Disparités en Fonction des Revenus Les inégalités économiques sont également un facteur clé dans l’accès aux soins de santé. En 2024, les écarts de revenus entraînent une large différence dans la capacité à se permettre des soins médicaux. Dans les pays à haut revenu, bien que les soins de santé soient souvent couverts par les systèmes de sécurité sociale, les personnes ayant des revenus plus faibles peuvent encore faire face à des difficultés à accéder à des traitements coûteux. Selon l’OMS, 1 personne sur 3 dans les pays à revenu élevé renonce parfois à des soins de santé pour des raisons financières. Dans les pays à faible revenu, la situation est encore plus dramatique. En Asie du Sud et en Afrique, des millions de personnes n’ont tout simplement pas les moyens de payer des soins médicaux de base. L’absence de systèmes de santé publics robustes ou de financements suffisants entraîne un recours accru aux soins de santé privés, qui sont inaccessibles à une grande partie de la population. Les femmes, en particulier dans les pays en développement, subissent des inégalités spécifiques en matière de santé. En 2024, l’OMS estime qu’environ 810 femmes meurent chaque jour dans le monde des suites de complications liées à la grossesse ou à l’accouchement, dont la plupart pourraient être évitées avec des soins appropriés. Les femmes vivant dans des régions rurales ou dans des contextes socio-économiques défavorisés ont encore moins accès à des soins prénataux de qualité. Par ailleurs, l’accès aux services de santé reproductive, tels que les soins de contraception ou d’avortement, reste limité, et dans certains pays, ces services sont même criminalisés. Les infrastructures de santé de qualité restent également un privilège réservé aux populations des grandes villes. Dans de nombreuses zones rurales, l’accès à des hôpitaux équipés et à des services de santé de qualité reste extrêmement limité. Ainsi, les personnes vivant dans des régions rurales sont souvent confrontées à des délais d’attente importants, des coûts de transport élevés et un manque de personnel médical qualifié. Les pays francophones, en particulier en Afrique subsaharienne, subissent des défis majeurs en matière de santé en raison de leur pauvreté. Ces défis ont un impact négatif sur la santé publique. Des initiatives de collaboration entre l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) visent à améliorer l’accès aux soins de santé et à garantir la couverture sanitaire universelle dans ces pays. Les organismes francophones jouent un rôle essentiel dans la promotion de l’accès aux soins médicaux dans les pays francophones. Plusieurs partenariats ont été mis en place entre l’OMS  et l’OIF, visant à

L’innovation et la tech dans le monde de la Santé L’innovation et la technologie redéfinissent chaque jour les limites de la médecine moderne. Qu’il s’agisse d’intelligence artificielle, de dispositifs connectés ou de télémédecine, ces avancées transforment la manière dont les soins sont prodigués et accessibles. Dans un monde post-pandémique, où l’efficacité et l’accessibilité des services de santé sont plus cruciales que jamais, ces avancées transforment non seulement les pratiques médicales mais aussi la manière dont les patients interagissent avec leur santé. La santé connectée : un suivi personnalisé ​ L’essor des objets connectés, tels que les montres intelligentes et les dispositifs de surveillance à domicile, permet aux patients de mesurer et de suivre en temps réel des indicateurs essentiels de leur santé, comme le rythme cardiaque, la tension artérielle ou le taux de glucose. Cette technologie favorise une approche proactive de la santé, où les patients peuvent détecter rapidement des anomalies et agir en conséquence. Elle facilite également la collaboration avec les professionnels de santé, qui peuvent suivre les données à distance et ajuster les traitements de manière plus ciblée et personnalisée, améliorant ainsi l’efficacité des soins. L’intelligence artificielle au service du diagnostic ​ L’intelligence artificielle (IA) transforme profondément le domaine médical en facilitant l’analyse des données massives générées par les technologies de diagnostic. Grâce à des algorithmes avancés, l’IA peut analyser des images médicales, comme les radiographies ou les IRM, et identifier des anomalies invisibles à l’œil humain. Ces outils permettent non seulement de détecter précocement des pathologies, comme des tumeurs ou des maladies cardiaques, mais aussi d’anticiper l’évolution de certaines épidémies en analysant des tendances. En réduisant le risque d’erreur humaine, l’IA garantit des diagnostics plus rapides, fiables et plus accessibles, offrant ainsi un soutien précieux aux professionnels de santé. Ordolink : une innovation pratique au service de la santé mondiale ​ Ordolink facilite l’accès aux médicaments en Afrique en permettant aux patients de recevoir leurs traitements prescrits depuis les pharmacies françaises, même pour des médicaments en rupture de stock dans les officines locales . En simplifiant la gestion des ordonnances et des livraisons, la solution garantit un suivi médical sécurisé, avec un processus de commande clair et une livraison rapide. Grâce à une vérification rigoureuse des prescriptions et un réseau de pharmaciens français partenaires, Ordolink optimise la sécurité et la continuité des soins. La médecine de demain : génomique et biotechnologies ​ Les avancées en génomique ont transformé notre compréhension des maladies et des traitements. En analysant l’ADN individuel, il est désormais possible de concevoir des traitements personnalisés, spécifiquement adaptés aux caractéristiques génétiques de chaque patient. Cela permet une approche plus ciblée, réduisant ainsi les effets secondaires et augmentant l’efficacité des traitements. Associées aux biotechnologies, ces découvertes ouvrent des perspectives inédites pour traiter des maladies complexes et rares, comme certaines formes de cancers, où des thérapies sur mesure peuvent offrir de nouvelles options de guérison. Ces innovations représentent une révolution dans la médecine de précision. Pour conclure, l’innovation et la technologie transforment profondément le secteur de la santé, offrant de nouvelles solutions qui rendent les soins plus accessibles, personnalisés et efficaces. Des dispositifs médicaux connectés à l’intelligence artificielle, les patients bénéficient désormais de traitements adaptés à leurs besoins spécifiques. Toutefois, cette évolution rapide nécessite un cadre éthique solide pour protéger la confidentialité des données et assurer la sécurité des traitements. De plus, les réglementations doivent être continuellement mises à jour pour encadrer l’usage de ces technologies, garantissant ainsi leur application responsable et équitable à l’échelle mondiale. 09/12/2024 @MADE IN PREAPHARM Laissez un commentaire ! Annuler la réponse Connexion en tant que kirito@preapharm.com. Modifier votre profil. Se déconnecter ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message* Δ

La révolution numérique au service de la santé : PREAPHARM, un acteur visionnaire La révolution numérique bouleverse le secteur de la santé, transformant profondément les pratiques traditionnelles à une vitesse sans précédent. L’e-santé, ou santé numérique, redéfinit la manière dont les soins sont administrés, suivis et rendus accessibles. Télémédecine, objets connectés, applications de santé et plateformes de gestion des données médicales façonnent désormais un système de santé plus connecté, inclusif et centré sur les besoins des patients. Dans ce contexte d’innovation, PREAPHARM se positionne comme un acteur clé, combinant expertise pharmaceutique et solutions numériques pour redéfinir les standards de la santé moderne. Spécialisée dans la e-santé et le bien-être, cette entreprise place la technologie au service des patients et des professionnels de santé. PREAPHARM : expertise et mission PREAPHARM a pour mission de rendre les soins plus accessibles et d’améliorer le bien-être global. S’appuyant sur des technologies de pointe et une expertise éprouvée, l’entreprise offre des solutions adaptées aux besoins des patients, des professionnels de santé et des institutions, avec une approche inclusive et globale. Les valeurs fondamentales de PREAPHARM se déclinent en trois axes principaux. Améliorer l’accès aux soins : en démocratisant l’utilisation de solutions numériques et en garantissant l’accès à des produits pharmaceutiques français de qualité. Promouvoir l’excellence française en santé : en mettant en avant des services et des technologies à la pointe de l’innovation. Contribuer au bien-être global : en prenant en compte toutes les dimensions de la santé, qu’elles soient physiques, mentales ou sociales.   Pour répondre à ces besoins, PREAPHARM a développé différentes solutions:  Ordolink, une solution innovante permettant aux francophones du monde entier de bénéficier de l’excellence du réseau pharmaceutique français, simplifiant ainsi l’accès aux traitements de manière sécurisée et régulière. Preaform, une plateforme numérique de formation médicale permettant aux médecins d’accéder à des formations certifiantes et reconnues (HAS, Qualiopi). Un blog santé, destiné à informer et éduquer sur les pratiques et innovations du secteur de la santé et du bien-être. La communauté French Care 🐓 PREAPHARM a récemment intégré la communauté des acteurs de la French Care. La French Care est le mouvement de tous les professionnels du secteur de la santé. Cette reconnaissance souligne l’importance et l’impact de PREAPHARM et de ses solutions dans le monde de la santé française et internationale.  Cette reconnaissance souligne la capacité de l’entreprise à promouvoir l’excellence française en matière de santé numérique tout en s’adaptant aux besoins des patients et des professionnels. L’obtention de ce label renforce la mission de PREAPHARM, qui s’efforce de faciliter l’accès aux soins, de promouvoir la formation médicale et de sensibiliser les francophones du monde entier aux enjeux de santé. Grâce à son engagement et à ses solutions novatrices, PREAPHARM redéfinit les standards de la santé moderne. En plaçant l’humain et la technologie au cœur de son approche, l’entreprise poursuit son objectif d’améliorer durablement la santé des populations, en répondant aux besoins actuels tout en anticipant les défis de demain. Avec des initiatives inspirantes comme Ordolink et PREAFORM, et en s’appuyant sur des partenariats solides, PREAPHARM affirme son rôle de leader dans l’écosystème de l’e-santé international, tout en continuant à promouvoir une vision inclusive et connectée du futur de la santé. 06/12/2024 @MADE IN PREAPHARM Laissez un commentaire ! Annuler la réponse Connexion en tant que kirito@preapharm.com. Modifier votre profil. Se déconnecter ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message* Δ

La vaccination et si on en parlait ? La santé est un droit universel inscrit dans la Déclaration universelle des droits de l’homme et reconnu par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).  Ce droit dépasse l’absence de maladies pour inclure un bien-être physique, mental et social. Chaque individu, où qu’il soit, devrait pouvoir accéder aux meilleures conditions de santé possibles. La vaccination est l’un des outils les plus efficaces pour protéger la santé des populations. Elle a permis des avancées majeures dans la lutte contre des maladies graves. L’éradication de la variole a sauvé environ 5 millions de vies par an avant 1980, et les campagnes contre la polio ont réduit les cas annuels de 350 000 en 1988 à environ 26 cas dans le monde en 2023. Plus récemment, la mobilisation face à la pandémie de COVID-19 a conduit à l’administration de plus de 13 milliards de doses, sauvant entre 14 et 20 millions de vies dès la première année. Le principe de la vaccination Cependant, des défis subsistent. L’accès inégal aux vaccins est une réalité frappante : en 2021, seuls 16 % des habitants des pays à faible revenu avaient reçu au moins une dose de vaccin COVID-19, contre 80 % dans les pays riches. Des infrastructures de santé limitées compliquent la distribution dans les zones rurales, où environ 10 % des vaccins sont perdus à cause de problèmes liés à la chaîne du froid. À cela s’ajoute la désinformation, qui alimente la méfiance envers les vaccins. En 2019, l’OMS a classé la réticence vaccinale parmi les 10 principales menaces pour la santé mondiale. Face à ces obstacles, des solutions existent. Il est essentiel de renforcer les infrastructures de santé, d’investir dans la formation des professionnels et de déployer des campagnes d’information fiables. Les initiatives mondiales comme COVAX, qui avait distribué plus de 1,8 milliard de doses d’ici 2023, témoignent de l’importance de la solidarité internationale. À une échelle locale, des projets comme les cliniques mobiles en Ouganda montrent comment atteindre les populations éloignées et surmonter des barrières logistiques et culturelles. En conclusion, bien que la vaccination ait transformé la santé publique, l’accès universel reste un défi crucial. Des efforts coordonnés sont indispensables : renforcer les systèmes de santé, sensibiliser le public et encourager la collaboration mondiale permettront de bâtir un avenir où la santé est accessible à tous. Ensemble, nous pouvons garantir que la vaccination continue de sauver des vies et de protéger l’humanité de manière équitable et universelle 02/12/2024 @MADE IN PREAPHARM Bibliographie https://www.guadeloupe.ars.sante.fr/ Laissez un commentaire ! Annuler la réponse Connexion en tant que kirito@preapharm.com. Modifier votre profil. Se déconnecter ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message* Δ

« Journée mondiale de la santé 2024 : PREAPHARM s’engage pour l’accès équitable aux soins » Célébrée chaque année le 7 avril, la Journée mondiale de la santé commémore la création de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) en 1948. Cette journée est l’occasion de mettre en lumière un thème de santé publique crucial et de mobiliser l’action mondiale pour améliorer la santé pour tous. Depuis sa création, la Journée mondiale de la santé a permis de sensibiliser à des problèmes de santé majeurs tels que la santé mentale, la sécurité alimentaire, le paludisme et le cancer. De nombreux événements et activités sont organisés dans le monde entier pour attirer l’attention sur les défis de santé qui minent notre monde et encourager les gouvernements, les organisations et les individus à prendre des mesures concrètes. Avec environ 194 États membres et des millions de personnes impliquées chaque année, la Journée mondiale de la santé est un événement important qui souligne l’importance de la santé pour le développement et le bien-être de tous. Cette année, la Journée mondiale de la santé met en lumière le thème « Notre santé, nos droits ». Ce thème inspire la lutte pour un accès équitable aux soins de santé pour tous, un combat que mène PREAPHARM au quotidien. Il met en avant l’idée que la santé est un droit humain fondamental, et non un privilège. Chez PREAPHARM, nous sommes convaincus que la santé est un droit humain fondamental. C’est pourquoi nous avons développé Ordolink, une solution innovante qui permet aux francophones du monde entier d’accéder aux pharmacies françaises pour leurs traitements, partout en Afrique. En cette Journée mondiale de la santé, nous réaffirmons notre engagement à offrir à chaque citoyen un accès équitable aux soins. Ordolink s’inscrit dans cet objectif en brisant les barrières géographiques et économiques qui limitent l’accès aux médicaments essentiels. Plus qu’une simple solution technologique, Ordolink est un symbole de notre engagement envers la santé pour tous. En cette journée spéciale, nous invitons tous les acteurs du monde de la santé à se joindre à nous pour construire un monde où chacun peut bénéficier des soins dont il a besoin. Rejoignez-nous dans la lutte pour « Notre santé, nos droits » ! 07/04/2024 @MADE IN PREAPHARM Laissez un commentaire ! Annuler la réponse Connexion en tant que kirito@preapharm.com. Modifier votre profil. Se déconnecter ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message*

« Cancer de la prostate: tout savoir sur cette maladie masculine » Le cancer de la prostate, c’est quoi ? Le cancer de la prostate est une tumeur maligne qui se développe au sein de la prostate, glande du système reproducteur masculin. Cette maladie se caractérise par la croissance incontrôlée de cellules cancéreuses dans la prostate. Si elle est fréquente chez les hommes de plus de 50 ans, heureusement, elle progresse souvent lentement et reste localisée à la prostate pendant longtemps. Dans la plupart des cas, il s’agit d’un adénocarcinome, c’est-à-dire qu’il se développe à partir des cellules glandulaires qui forment le revêtement de la prostate. Bien que le cancer de la prostate puisse être grave, il est important de savoir qu’un diagnostic et une prise en charge précoces augmentent considérablement les chances de guérison. Que disent les chiffre en Afrique et dans le monde Le cancer de la prostate est le 1er cancer fréquent chez les hommes dans 40 pays d’Afrique subsaharienne (ONU, 2023). Il est temps d’agir ! L’Institut National du Cancer en France préconise une approche stratégique en  quatre axes dans la lutte contre les cancers :  Renforcer la prévention,  Réduire les conséquences négatives et améliorer la qualité de vie,  Combattre les cancers à pronostic sombre  Garantir que les avancées profitent à tous.   Chez Ordolink, notre engagement se porte sur l’amélioration de la prévention et la facilitation de l’accès aux progrès en matière de lutte contre le cancer en Afrique. Que disent les chiffre en Afrique et dans le monde La recherche sur le cancer de la prostate ne cesse d’évoluer, offrant aux patients des options thérapeutiques de plus en plus précises et efficaces. Ces récentes avancées ouvrent la voie à une meilleure prise en charge de la maladie et un regain d’espoir pour les hommes touchés. Une nouvelle thérapie dans la prise en charge des cancers résistants à la castration Le traitement des formes avancées du cancer de la prostate repose généralement sur l’hormonothérapie, mais l’apparition de résistance limite considérablement l’efficacité des traitements sur le long terme. Julie Terzic et coll en France, dans leur étude, ont mis en évidence l’implication du facteur de transcription d’hypoxie 1 alpha dans cette résistance. De plus, ils montrent que inhiber ce facteur permet la régression des tumeurs, une piste prometteuse pour de nouvelles thérapies. une combinaison hormonothérapie et inhibiteur de PARP très prometteuse L’étude internationale TALAPRO-2 suggère que l’association du Talazoparib, un inhibiteur de PARP, à l’Enzalutamide, une hormonothérapie de deuxième génération, réduit de 80 % le risque de décès ou de progression tumorale chez les patients atteints de cancer de la prostate métastatique résistant à l’hormonothérapie et présentant des altérations de gènes de réparation de l’ADN, tels que BRCA1 ou BRCA2. 12/03/2024 @MADE IN PREAPHARM Laissez un commentaire ! Annuler la réponse Connexion en tant que kirito@preapharm.com. Modifier votre profil. Se déconnecter ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message*

« Zoom sur le cancer du sein » Le cancer du sein, c’est quoi? Le cancer du sein est une maladie qui se développe au niveau des cellules mammaires. Ces cellules cancéreuses incontrôlables peuvent se propager aux tissus voisins et, dans certains cas, à d’autres parties du corps. Le cancer du sein : un fardeau pour les femmes africaines Le cancer du sein, deuxième cancer le plus fréquent chez les femmes africaines, représente un lourd fardeau. Son diagnostic tardif, souvent à un stade avancé (70 à 80% des cas), réduit les chances de survie et engendre un nombre élevé de décès. Pour inverser cette tendance, un accès accru aux outils de diagnostic précoce, une sensibilisation accrue des femmes et un renforcement des systèmes de santé sont indispensables. Un effort concerté entre les gouvernements, les organisations internationales et la société civile est crucial pour améliorer la vie des femmes africaines et combattre ce fléau. La quête de la guérison: ? Face à ce fléau, la science ne cesse de se mobiliser et de nouvelles armes prometteuses émergent pour combattre le cancer du sein. Des progrès considérables ont été réalisés dans le domaine du traitement du cancer du sein, offrant aux femmes une palette d’options plus efficaces et moins invasives pour vaincre la maladie. Emergence de nouvelles stratégies thérapeutiques Une étude a démontré que l’évaluation du taux des Cellules tumorales Circulantes (CTC) dans le sang permet de déterminer chez quelles femmes atteintes d’un cancer du sein avec récepteurs aux œstrogènes (ER+), il est plus judicieux de privilégier une chimiothérapie plutôt qu’une hormonothérapie pour accroître les chances de survie. Découverte d’un système de réparation de l’ADN : un nouvel espoir Des scientifiques de l’Institut Curie et de l’Inserm ont récemment présenté une découverte majeure en matière de réparation de l’ADN. Les résultats de leur étude, publiés dans la prestigieuse revue Nature le 6 septembre 2023, offrent de nouvelles perspectives passionnantes pour le développement de cibles thérapeutiques innovantes dans le traitement du cancer, notamment celui du sein et de l’ovaire. Un traitement innovant qui réduit les risques de récidive Le Ribociclib, développé par Novartis, s’est révélé efficace contre les formes précoces de la maladie. Ce médicament réduirait de manière significative le risque de récidive. Utilisé en combinaison avec une hormonothérapie pour traiter le cancer du sein le plus courant (HR+/HR2-) à un stade avancé, il ouvre de nouvelles perspectives pour les patients atteints de la  maladie. 05/03/2024 @MADE IN PREAPHARM Bibliographie CONFÉRENCE DES MINISTRES DE LA SANTÉ DE L’UNION AFRICAINE (CAMH6) Sixième session ordinaire, 22-26 avril 2013, Addis-Abeba https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8320786/#:~:text=En%20Afrique%20subsaharienne%2C%20on%20estime,000%20en%20meurent%20chaque%20ann%C3%A9e. https://www.fondation-arc.org/cancer/cancer-sein/espoirs-recherche?utm_source=hs_email&utm_medium=email&_hsenc=p2ANqtz–vfmCuOMHGQpicEQRipNHBkPNlKb2sX0gWJWQoxnr7s_UZcfDED9OE00232uMIidnYJPnF https://presse.inserm.fr/decouverte-dun-systeme-de-reparation-de-ladn-inedit-un-nouvel-espoir-pour-le-traitement-des-cancers-du-sein-et-de-lovaire/67410/?utm_source=hs_email&utm_medium=email&_hsenc=p2ANqtz–vfmCuOMHGQpicEQRipNHBkPNlKb2sX0gWJWQoxnr7s_UZcfDED9OE00232uMIidnYJPnF https://www.francetvinfo.fr/sante/cancer/poumon-cerveau-sein-les-avancees-majeures-qui-donnent-de-l-espoir-dans-la-lutte-contre-certains-cancers_5873429.html?utm_source=hs_email&utm_medium=email&_hsenc=p2ANqtz–vfmCuOMHGQpicEQRipNHBkPNlKb2sX0gWJWQoxnr7s_UZcfDED9OE00232uMIidnYJPnF Laissez un commentaire ! Annuler la réponse Connexion en tant que kirito@preapharm.com. Modifier votre profil. Se déconnecter ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message*

« Innovations dans la prise en charge du cancer colorectal » Le cancer colorectal, c’est quoi ? Les cancers colorectaux sont des maladies qui se caractérisent par une prolifération anormale de cellules, au niveau de la paroi interne du côlon et du rectum. Que disent les chiffres et quelles sont les innovations diagnostiques et thérapeutiques? Que disent les chiffres en Afrique et dans le monde En 2022, les données du Global Cancer Observatory et de l’Agence Internationale de Recherche sur le Cancer de l’OMS ont mis en lumière le poids significatif du cancer colorectal dans la charge mondiale de la maladie.En afrique, Il occupait une place notable en tant que cinquième cancer le plus fréquent chez les deux sexes, tous âges confondus, avec une incidence estimée à 5,9 %.  Cette incidence élevée témoigne de l’ampleur du défi que représente cette maladie. De manière plus spécifique, chez les hommes, le cancer colorectal se classait en troisième position parmi les cancers les plus fréquents après celui de la prostate et des poumons, affectant environ 7,2 % de la population masculine. Chez les femmes, bien que légèrement moins prévalent, il demeurait également significatif (3e place après le cancer du sein et du col de l’utérus), touchant environ 5,0 % de la population féminine. Ces statistiques soulignent la nécessité d’une approche holistique pour lutter contre le cancer colorectal, en tenant compte des différences entre les sexes ainsi que des variations démographiques. De plus, malgré les avancées dans les diagnostics et les traitements, le taux de mortalité associé à ce cancer reste préoccupant, atteignant 6 %. Cette réalité met en évidence l’importance des efforts continus pour améliorer les options de traitement et renforcer les programmes de dépistage afin de réduire l’impact de cette maladie sur la population mondiale. Le diagnostic: les avancées majeur Le diagnostic du cancer colorectal a connu de nombreux progrès significatifs ces dernières décennie.  Coloscopie virtuelle : Imagerie par tomodensitométrie (TDM) ou imagerie par résonance magnétique (IRM) pour visualiser le côlon et le rectum. Moins invasive que la coloscopie traditionnelle, mais peut nécessiter une sédation et n’est pas toujours aussi précise. Test ADN fécal : Détecte les modifications de l’ADN dans les selles qui peuvent indiquer un cancer ou un pré cancer du côlon. Non invasif et facile à réaliser, mais moins sensible que la coloscopie. Il a l’avantage d’être réalisé à domicile. Ce test est réalisé tous les trois ans . En cas de résultats anormaux, une coloscopie de suivi devra être pratiquée par la suite. Biopsie liquide : Analyse d’un échantillon de sang pour rechercher des cellules tumorales circulantes ou des fragments d’ADN tumoral (hors cancer du sang). Elle revet deux avantages particulièrement importants:  pour le patient: remplace dans certaines conditions un examen invasif, parfois douloureux ou désagréable (biopsie, coloscopie..) pour la PEC de la maladie, offre au médecin une évaluation précise du cancer et de la répéter. Le cancer revêt un caractère évolutif dans le temps, ainsi, la possibilité de répéter les prélèvements offre au médecin d’avoir une photographie précise de la tumeur à un moment précis et d’adapter le traitement en conséquence. Les avancées dans la prise en charge: Le domaine de la prise en charge du cancer colorectal a connu une transformation remarquable ces dernières années, portée par des avancées majeures dignes d’être soulignées. La Chirurgie robotique : Offre une meilleure précision et une récupération plus rapide (diminution des douleurs post-opératoires, diminution des complications cardiorespiratoires, reprise plus précoce du transit intestinal, raccourcissement du séjour hospitalier,  diminution des séquelles urinaires et sexuelles, reprise plus rapide des activités sociales et professionnel) que la chirurgie traditionnelle Cette technique offre aux chirurgiens moins de fatigabilité, donc plus de concentration chirurgicale. Elle offre également la possibilité d’opérer en double équipe (association chirurgien colorectal et chirurgie gynécologique ou urologique) La thérapie ciblée : Utilise des médicaments pour bloquer des mutations spécifiques qui favorisent la croissance du cancer. Ces médicaments sont les anticorps monoclonaux qui, à l’image des anticorps produits par l’organisme pour tuer virus, bactéries ou cellules cancéreuses, sont fabriqués pour se fixer sur certaines protéines essentielles au développement de la tumeur. Aujourd’hui, les plus employés dans les cancers colorectaux sont des inhibiteurs d’une protéine appelée VEGF (Vascular Endothelial Growth Factor) qui contribue à la formation de vaisseaux sanguins permettant à la tumeur de bénéficier de l’oxygène et des nutriments nécessaires à sa croissance. L’Immunothérapie : Stimule le système immunitaire du patient pour qu’il attaque les cellules tumorales. Des médicaments tels que le Pembrolizumab (Keytruda) et le Nivolumab (Opdivo) sont utilisés pour les cancers présentant des marqueurs génétiques spécifiques. Particulièrement efficaces dans les stades avancés du cancer colorectal. 27/02/2024 @MADE IN PREAPHARM Bibliographie https://www.chu-lyon.fr/biopsie-liquide https://www.chu-bordeaux.fr/Espace-m%C3%A9dia/La-chirurgie-robotique-au-CHU-de-Bordeaux-Acquisition-de-nouveaux-robots-derni%C3%A8re-g%C3%A9n%C3%A9ration-/chirurgie-robotique-:-digestif,-chirurgie-colorectale/#:~:text=Globalement%2C%20l%27ensemble%20des%20pathologies,%C3%A9galement%20de%20l%27approche%20robotique. https://www.fondation-arc.org/cancer/cancer-colorectal/traitement-cancer#:~:text=Les%20th%C3%A9rapies%20cibl%C3%A9es%20utilis%C3%A9es%20dans%20les%20cancers%20colorectaux&text=En%20emp%C3%AAchant%20la%20formation%20de,le%20r%C3%A9goraf%C3%A9nib%20(Stivarga%C2%AE). https://fr.massivebio.com/page-essai-clinique-cancer-colorectal/?utm_term=cancer%20colorectal&utm_campaign=Search+%7C+Generic+%7C+Colorectal+Cancer+-+TAK-676-1002+%7C+France&utm_source=adwords&utm_medium=ppc&hsa_acc=2406505707&hsa_cam=20439062371&hsa_grp=157853173131&hsa_ad=668863668891&hsa_src=g&hsa_tgt=kwd-277443133&hsa_kw=cancer%20colorectal&hsa_mt=p&hsa_net=adwords&hsa_ver=3&gad_source=1&gclid=CjwKCAiA_5WvBhBAEiwAZtCU75KZvVKibmzeSEYKdYRqOfLUdOqHwLvLwy3RjZVDj5WTGQQO8kXs1RoC5ooQAvD_BwE 903-africa-fact-sheet.pdf https://gco.iarc.fr/today/en/fact-sheets-populations#regions Laissez un commentaire ! 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« Les cancers: vivre le combat, du diagnostic à la guérison » Symptômes du cancer: attention aux signes d’alerte Le cancer peut se manifester par différents symptômes, certains plus discrets que d’autres. Il est important d’être attentif aux signes suivants : Perte de poids inexpliquée et rapide. Toux persistante sans cause apparente. Présence de masses ou ganglions lymphatiques gonflés (nodules, adénopathies, etc.). Troubles généraux comme une fatigue importante, une perte d’appétit ou une fièvre persistante. Troubles digestifs (constipation, troubles de la déglutition, …). Saignements inhabituels (touchers pelviens systématiques conseillés).   En cas de doute, il est important de consulter un médecin pour une analyse plus approfondie. La confirmation du diagnostic se fait généralement par biopsie et examen anatomopathologique. N’oubliez pas : un diagnostic précoce est crucial pour augmenter les chances de guérison. Comment soigne-t-on les cancers ? Les principales stratégies utilisées dans le traitement des cancers sont la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, les thérapies ciblées, l’hormonothérapie et l’immunothérapie. Une composante majeure de cette prise en charge réside également dans le soutien psycho affectif au patient et à son entourage (Groupe de parole, psychothérapie…). Il est important d’adopter une thérapie adéquate afin de réduire les risques de complications et de récidives. En amont, il est essentiel de développer des stratégies de dépistage pour promouvoir la santé et prévenir les maladies. Il est également crucial de mettre en place des stratégies de prévention à travers des actions ciblées sur les facteurs de risque. Prévenir le cancer: agir et se faire dépister Oui, on peut prévenir le cancer ! Voici quelques conseils clés : Adoptez un mode de vie sain : Dites adieu au tabac et à l’alcool. Bougez régulièrement : pratiquez une activité physique. Mangez équilibré et surveillez votre poids. Protégez-vous au travail : hygiène et sécurité renforcées.   Vaccins et dépistages : des armes efficaces Vaccinez-vous : HPV (filles dès 11 ans), VHB (naissance). Participez aux dépistages organisés selon les recommandations nationales. Effectuez des dépistages individuels : autopalpation des seins (cancer du sein); frottis cervico-utérin (25-65 ans, cancer du col de l’utérus); test immunologique du cancer du colon (50-65 ans, hommes et femmes). Agissez pour votre santé et réduisez votre risque de cancer ! N’hésitez pas à consulter votre médecin pour des conseils personnalisés. L’accès aux traitements contre le cancer en Afrique : un défi à relever En Afrique, l’accès aux traitements innovants et aux médicaments essentiels contre le cancer reste un défi majeur. Malgré les efforts des gouvernements, des pénuries et des indisponibilités de molécules cruciales persistent, compromettant le pronostic vital des patients. Chez PREAPHARM, l’accessibilité des traitements est au cœur de notre mission. Nous nous engageons à garantir une disponibilité constante des médicaments oncologiques de pointe, en facilitant leur accès dans les pharmacies françaises à travers l’Afrique. De plus, nous assurons une gestion rigoureuse des effets secondaires pour une prise en charge optimale des patients. Si vous êtes confronté à un cancer en Afrique, sachez que vous n’êtes pas seul. Ordolink vous accompagne et vous livre régulièrement les médicaments nécessaires à votre survie. Ensemble, nous pouvons relever le défi de l’accès aux soins contre le cancer en Afrique. 20/02/2024 @MADE IN PREAPHARM Laissez un commentaire ! Annuler la réponse Connexion en tant que kirito@preapharm.com. Modifier votre profil. Se déconnecter ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message*

« Cancer : Ce que vous devez savoir ! » Face au cancer: des chiffres qui interpellent Le cancer, tumeur maligne, se caractérise par une prolifération incontrôlée de cellules. Ces cellules forment des masses tumorales envahissantes composées de cellules atypiques à croissance rapide. Le cancer est une cause majeure de mortalité. En Afrique, plus d’un million de nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année (OMS), entraînant environ 700 000 décès. Si aucune action n’est entreprise, ce chiffre devrait doubler d’ici 2030, soulignant l’urgence de la lutte contre ce fléau mondial. Les cancers les plus fréquents : sein, prostate, poumon, côlon et sang constituent une menace majeure pour la santé mondiale. Différents types de cancers Le paysage des cancers est loin d’être uniforme. On recense environ 200 types de cancers différents, répartis en 4 grandes catégories. Cancers solides (90%): carcinomes (fréquents, peau, muqueuses et glandes) et sarcomes (moins fréquents, os, cartilage). Cancers liquides: leucémies (sang et moelle osseuse) et lymphomes (système lymphatique). Cancers métastatiques: propagation des cellules cancéreuses. Cancers secondaires: liés à un traitement antérieur (souvent anticancéreux).   Cette diversité souligne l’importance d’un diagnostic précis et d’une approche individualisée pour chaque type de cancer. Comprendre les spécificités de chaque catégorie permet de mieux appréhender les défis et les progrès dans la lutte contre cette maladie complexe. Les facteurs de risques: agir sur ce qu’on peut contrôler Le développement du cancer n’est pas inévitable. De nombreux facteurs, dont certains peuvent être modifiés, influencent le risque de contracter la maladie Facteurs de risque modifiables Le tabac et l’alcool responsable de nombreux cancers (cancer de la langue, cancer du foie..) Une mauvaise hygiène de vie (alimentation déséquilibrée, obésité) peut favoriser également la survenue de certains cancers. Certaines agents infecteurs, comme l’hépatite B et C, liées au cancer du foie; le PAPILLOMAVIRUS HUMAIN (HPV 16 ET 18) dans les cancers du col de l’utérus; et l’Helicobacter dans les cancers de l’estomac L’exposition à des substances cancérogènes dans l’environnement professionnel ou domestique (amianthe par exemple)   Facteurs de risque non modifiables Âge: le risque augmente avec l’âge. Sexe: certains cancers touchent plus particulièrement les hommes ou les femmes. Hérédité: antécédents familiaux à surveiller. 13/02/2024 @MADE IN PREAPHARM Laissez un commentaire ! Annuler la réponse Connexion en tant que kirito@preapharm.com. Modifier votre profil. Se déconnecter ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message*